Teddy Riner lance la « Riner Cup »

Teddy Riner lance la « Riner Cup »

Quand Teddy Riner n’est pas occupé à gagner une nouvelle médaille d’or ou remporter un tournoi, il en crée tout simplement un. Les 5 et 6 avril prochains, l’aréna Teddy Riner à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) accueillera la Riner Cup. Un tournoi de judo, lancé par le triple champion olympique et onze fois champion du monde, qui a pour ambition d’offrir aux jeunes judokas une expérience unique, alliant compétition et divertissement.

Des Récompenses et des Champions au Rendez-Vous

Au programme : des compétitions et démonstrations entre cadets le samedi, suivis d’un tournoi senior le dimanche. Et pour encadrer tous les participants, nul autre que des grands champions. Teddy Riner a confirmé la venue de champions olympiques et mondiaux, notamment un champion azéri, plusieurs athlètes de l’équipe de France, ainsi que des judokas internationaux de haut niveau.

Les meilleurs participants ne repartiront pas les mains vides. Les plus vieux pourront remporter des prize-money allant de 500 à 3.000 euros pour la super finale, tandis que les cadets recevront des cadeaux tels que des trottinettes, des tablettes et d’autres surprises.

L’objectif de Teddy Riner est de créer un cadre stimulant et accessible à tous, où chaque participant peut se dépasser tout en prenant du plaisir. « J’ai reçu beaucoup d’amour tout au long de ma carrière, et j’avais envie de redonner », confie le judoka. Pour s’inscrire il suffit de le faire sur le site de la compétition jusqu’au 2 avril.

Des premières échéances avant Los Angeles 2028

Si Teddy Riner compte bien prendre place sur le tatami et dans les tribunes pour mettre l’ambiance lors de la Riner Cup, d’autres échéances sportives l’attendent bientôt.

En convalescence depuis une opération du coude en début d’année, le champion olympique espère revenir à la compétition d’ici juin ou juillet 2025. Un premier test pour celui qui semble infatigable et jamais rassasié. « Après Paris, je pourrais dire que j’ai fait le tour de ma discipline, mais j’ai encore envie » explique le champion. “Avant de poursuivre « Je n’ai pas envie d’avoir de regrets. J’ai une équipe qui peut m’amener aux Jeux Olympiques de 2028 et j’ai le mental pour. J’ai envie de vivre de ma passion, de kiffer ma life et je pense que ça va se passer dans les quatre prochaines années ».